Un jeune Milanais de la trentaine décide de « se mettre au vert » en louant une « baïta » 6 mois dans la montagne. Son but : faire l’expérience de la solitude. Quitter la ville, retrouver la nature à l’état pur, se reconnecter à l’enfant sauvage qu’il était lors de ses séjours d’enfance dans les Alpes, tester sa capacité de vivre loin des hommes, voilà ce qui anime son choix.
Inspiré par ses lectures, par des rencontres authentiques et par son dialogue intérieur, la définition du mot solitude s’avère plus complexe qu’il n’y parait de prime abord.
Non, il ne rentrera pas de cette retraite comme il est arrivé à la baïta quelques mois auparavant.
J’ai aimé
- l’immersion dans les montagnes italiennes
- ce récit initiatique qui en dit tout au autant qu’un essai philosophique sur la solitude
- cette invitation à gouter l’authenticité d’une rencontre vraie dans discours vide
- les références multiples à de nombreux auteurs qui ont déjà traité ce thème.